souvent libre les dimanches alors je me mets devant mon ordinateur et j’attends. Puis je regarde. Tous leurs matches. Quand on est dans notre bulle, comme ça, on ne se rend pas compte à quel point on n’était pas bon offensivement. Il n’y avait aucune action finie.
Avec l’Olympiakos, les ballons ne sont pas perdus, ou on ne commet pas de faute. Pas avant d’avoir frappé. On conserve et on frappe. On ne rend pas le ballon. Du coup, dans les statistiques, on finit souvent avec vingt ou trente tirs au but par match. J’étais enfermé dans un cercle (sic) avant, je ne voyais pas clair, je ne voyais pas ça.
Mais en même temps, le foot, au Luxembourg, est trop physique. Voilis et Xenitidis me le disent. Et désormais, moi, je pense tactique et conservation avant de penser aux duels.
Bref, vous vous éclatez à Athènes ?
Dès que j’ai un peu de temps libre, je vais visiter. C’est joli, un peu vieux, il fait beau. C’est bien de tout connaître pour quand la famille ou les amis viennent vous visiter. Quand je pense que mon père n’arrêtait pas de me dire, même quand j’étais au centre de formation de Schalke 04, avant d’arriver au Luxembourg, que le foot, ça ne sert à rien, que je risquais juste de m’y blesser et que je ferais mieux de bien travailler à l’école…
Mais quand ils ont commencé à entendre les gens parler de moi, ils ont commencé à entendre les gens parler de moi, mes parents s’y sont intéressés. Et maintenant, ils vont tous les week-ends à la Frontière voir les matches. J’ai au moins laissé ça au club.
souvent libre les dimanches alors je me mets devant mon ordinateur et j’attends. Puis je regarde. Tous leurs matches. Quand on est dans notre bulle, comme ça, on ne se rend pas compte à quel point on n’était pas bon offensivement. Il n’y avait aucune action finie.
Avec l’Olympiakos, les ballons ne sont pas perdus, ou on ne commet pas de faute. Pas avant d’avoir frappé. On conserve et on frappe. On ne rend pas le ballon. Du coup, dans les statistiques, on finit souvent avec vingt ou trente tirs au but par match. J’étais enfermé dans un cercle (sic) avant, je ne voyais pas clair, je ne voyais pas ça.
Mais en même temps, le foot, au Luxembourg, est trop physique. Voilis et Xenitidis me le disent. Et désormais, moi, je pense tactique et conservation avant de penser aux duels.
Bref, vous vous éclatez à Athènes ?
Dès que j’ai un peu de temps libre, je vais visiter. C’est joli, un peu vieux, il fait beau. C’est bien de tout connaître pour quand la famille ou les amis viennent vous visiter. Quand je pense que mon père n’arrêtait pas de me dire, même quand j’étais au centre de formation de Schalke 04, avant d’arriver au Luxembourg, que le foot, ça ne sert à rien, que je risquais juste de m’y blesser et que je ferais mieux de bien travailler à l’école…
Mais quand ils ont commencé à entendre les gens parler de moi, ils ont commencé à entendre les gens parler de moi, mes parents s’y sont intéressés. Et maintenant, ils vont tous les week-ends à la Frontière voir les matches. J’ai au moins laissé ça au club.