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Le Québec et ses amateurs de musique se sont longtemps fait un point d’honneur de l’accueil qu’il réservait au rock progressif. Que ce soit grâce aux radios commerciales qui diffusaient cette musique ou parce que plusieurs groupes avaient plus de succès ici que dans le reste de l’Amérique, notamment. De plus, la première décennie complète du genre a vu une multitude de groupes et d’artistes de chez nous embrasser plus ou moins complètement le style et plusieurs albums justifient notre orgueil. La décennie suivante a fait s’écrouler le château de cartes et encore aujourd’hui, malgré un certain retour en grâce du prog, le Québec, voire le Canada, n’est plus une terre promise pour notre genre chouchou. Dans ce contexte bien précis, la présence, la durabilité et le nouvel opus de MYSTERY constituent un grand plaisir et, oserais-je dire, presqu’un mystère. « Redemption » est le plaisir dont il est question et il est le nouveau bijou de MYSTERY qui orne nos heures d’écoutes musicales printanières. Il s’agit du huitième album studio complet auquel on rajoute un EP de 1992 rendu disponible et remis au goût du jour l’année dernière. Pour obtenir le portrait complet, vous ajoutez deux compilations, trois albums double en spectacle, un DVD en spectacle et un écrin de trois CD et un Blu-Ray pour leur musique scintillante enregistrée au Pays-Bas, leur maison loin de la maison. Cela peut paraître relativement peu pour un groupe formé en 1986. Cependant, un seul groupe progressif québécois existe depuis plus longtemps et a plus d’albums en studio, soit MIRIODOR. Pour comprendre ses huit albums en plus de trente ans d’existence du groupe, il faut tenir compte que le fondateur et leader du groupe, MICHEL ST-PÈRE, avait dix-sept ans au jour un. Il faut aussi savoir qu’avec l’aide de son père, il a construit un studio d’enregistrement et appris les techniques d’enregistrement et de production. De plus, le va et vient des musiciens des débuts et les difficultés de trouver un contrat de disque l’ont mené à créer sa compagnie, UNICORN, et gérer une boutique de vente de musique en ligne. Si on ajoute la taille du marché québécois et le fait que MYSTERY a commencé à prendre son essor au milieu des années 90, le début d’une certaine renaissance du genre, alors le portrait devient plus clair. MYSTERY bénéficie énormément de la stabilité dont il jouit depuis quelques années. JEAN PAGEAU, troisième chanteur du groupe, est présent depuis « Delusion Rain », comme le sont FRANÇOIS FOURNIER à la basse, JEAN-SÉBASTIEN GOYETTE, la bête ou la pieuvre, à la batterie, et SYLVAIN MOINEAU aux guitares. Les claviers sont tenus par ANTOINE MICHAUD depuis « Lies and Butterflies ». Mais il est intéressant de savoir qu’il a d’abord appris le répertoire du groupe à la guitare électrique pour remplacer SYLVAIN lors d’une tournée en Europe en 2014. Il avait vingt-un an. En 2009, ce même SYLVAIN, qui a choisi de quitter la France pour s’installer au Québec, est d’abord devenu collaborateur des Mysterons au niveau de la transcription de musique. Trois ans plus tard, il jouait pour la première fois en spectacle alors que MYSTERY partageait l’affiche avec SAGA. J’y étais. Si vous avez eu la chance ou le plaisir de voir MYSTERY sur une scène, il est facile de comprendre comment l’unité de ces six musiciens a permis la réalisation de ce que plusieurs, dont votre humble serviteur, pourront considérer comme le meilleur album du groupe. On peut ressentir l’énergie et les talents musicaux du sextet sur les huit morceaux de « Redemption ». Certes, le principal compositeur demeure MICHEL mais JEAN PAGEAU a contribué avec « Every Note ». Cette pièce est, à sa manière, une superbe ballade où les guitares sèches et électriques mettent en lumière la voix touchante de JEAN et les mots sur un amour profond qu’il a écrit en collaboration avec son frère MARC. De son côté, ANTOINE MICHAUD, a composé « Homecoming », une histoire un peu triste mais musicalement plutôt réjouissante avec de bien belles lignes de synthétiseur. Ce nouvel opus commence avec un morceau typique du groupe, soit « Behind the Mirror ». Un morceau up-tempo porté par la puissance de musiciens qui maitrisent leur art et qui reflète bien le style que l’on associe maintenant au groupe. C’est la première vidéo associée à l’album et la triste histoire bien réelle des gens qui quittent leur pays, migrants ou réfugiés, et les difficultés qu’ils rencontrent. Le son MYSTERY est identifiable, c’est un plus, et bien connu par ses admirateurs. Mais le groupe pousse celui-ci vers un nouveau somment avec la pièce titre. Qu’est-ce-que j’aime ce morceau ! Il s’en dégage une force, une intensité et une émotion qui sont palpables tant on les ressent. Lorsque JEAN chante ‘This is my redemption’, on le croit. On vibre avec lui de cette rencontre qui apporte l’espoir. La montée en puissance avec les guitares électriques juste avant la conclusion rend toute résistance inutile. « The Beauty and the Least » enchaîne avec
Le Québec et ses amateurs de musique se sont longtemps fait un point d’honneur de l’accueil qu’il réservait au rock progressif. Que ce soit grâce aux radios commerciales qui diffusaient cette musique ou parce que plusieurs groupes avaient plus de succès ici que dans le reste de l’Amérique, notamment. De plus, la première décennie complète du genre a vu une multitude de groupes et d’artistes de chez nous embrasser plus ou moins complètement le style et plusieurs albums justifient notre orgueil. La décennie suivante a fait s’écrouler le château de cartes et encore aujourd’hui, malgré un certain retour en grâce du prog, le Québec, voire le Canada, n’est plus une terre promise pour notre genre chouchou. Dans ce contexte bien précis, la présence, la durabilité et le nouvel opus de MYSTERY constituent un grand plaisir et, oserais-je dire, presqu’un mystère. « Redemption » est le plaisir dont il est question et il est le nouveau bijou de MYSTERY qui orne nos heures d’écoutes musicales printanières. Il s’agit du huitième album studio complet auquel on rajoute un EP de 1992 rendu disponible et remis au goût du jour l’année dernière. Pour obtenir le portrait complet, vous ajoutez deux compilations, trois albums double en spectacle, un DVD en spectacle et un écrin de trois CD et un Blu-Ray pour leur musique scintillante enregistrée au Pays-Bas, leur maison loin de la maison. Cela peut paraître relativement peu pour un groupe formé en 1986. Cependant, un seul groupe progressif québécois existe depuis plus longtemps et a plus d’albums en studio, soit MIRIODOR. Pour comprendre ses huit albums en plus de trente ans d’existence du groupe, il faut tenir compte que le fondateur et leader du groupe, MICHEL ST-PÈRE, avait dix-sept ans au jour un. Il faut aussi savoir qu’avec l’aide de son père, il a construit un studio d’enregistrement et appris les techniques d’enregistrement et de production. De plus, le va et vient des musiciens des débuts et les difficultés de trouver un contrat de disque l’ont mené à créer sa compagnie, UNICORN, et gérer une boutique de vente de musique en ligne. Si on ajoute la taille du marché québécois et le fait que MYSTERY a commencé à prendre son essor au milieu des années 90, le début d’une certaine renaissance du genre, alors le portrait devient plus clair. MYSTERY bénéficie énormément de la stabilité dont il jouit depuis quelques années. JEAN PAGEAU, troisième chanteur du groupe, est présent depuis « Delusion Rain », comme le sont FRANÇOIS FOURNIER à la basse, JEAN-SÉBASTIEN GOYETTE, la bête ou la pieuvre, à la batterie, et SYLVAIN MOINEAU aux guitares. Les claviers sont tenus par ANTOINE MICHAUD depuis « Lies and Butterflies ». Mais il est intéressant de savoir qu’il a d’abord appris le répertoire du groupe à la guitare électrique pour remplacer SYLVAIN lors d’une tournée en Europe en 2014. Il avait vingt-un an. En 2009, ce même SYLVAIN, qui a choisi de quitter la France pour s’installer au Québec, est d’abord devenu collaborateur des Mysterons au niveau de la transcription de musique. Trois ans plus tard, il jouait pour la première fois en spectacle alors que MYSTERY partageait l’affiche avec SAGA. J’y étais. Si vous avez eu la chance ou le plaisir de voir MYSTERY sur une scène, il est facile de comprendre comment l’unité de ces six musiciens a permis la réalisation de ce que plusieurs, dont votre humble serviteur, pourront considérer comme le meilleur album du groupe. On peut ressentir l’énergie et les talents musicaux du sextet sur les huit morceaux de « Redemption ». Certes, le principal compositeur demeure MICHEL mais JEAN PAGEAU a contribué avec « Every Note ». Cette pièce est, à sa manière, une superbe ballade où les guitares sèches et électriques mettent en lumière la voix touchante de JEAN et les mots sur un amour profond qu’il a écrit en collaboration avec son frère MARC. De son côté, ANTOINE MICHAUD, a composé « Homecoming », une histoire un peu triste mais musicalement plutôt réjouissante avec de bien belles lignes de synthétiseur. Ce nouvel opus commence avec un morceau typique du groupe, soit « Behind the Mirror ». Un morceau up-tempo porté par la puissance de musiciens qui maitrisent leur art et qui reflète bien le style que l’on associe maintenant au groupe. C’est la première vidéo associée à l’album et la triste histoire bien réelle des gens qui quittent leur pays, migrants ou réfugiés, et les difficultés qu’ils rencontrent. Le son MYSTERY est identifiable, c’est un plus, et bien connu par ses admirateurs. Mais le groupe pousse celui-ci vers un nouveau somment avec la pièce titre. Qu’est-ce-que j’aime ce morceau ! Il s’en dégage une force, une intensité et une émotion qui sont palpables tant on les ressent. Lorsque JEAN chante ‘This is my redemption’, on le croit. On vibre avec lui de cette rencontre qui apporte l’espoir. La montée en puissance avec les guitares électriques juste avant la conclusion rend toute résistance inutile. « The Beauty and the Least » enchaîne avec
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