Rokas et Inga, un couple de jeunes lituaniens, conduisent un van d’aide humanitaire depuis Vilnius jusqu’en Ukraine. Au fur et à mesure de leur voyage et au gré des rencontres, ils se retrouvent livrés à eux-mêmes, traversant les vastes terres enneigées de la région de Donbass, à la dérive entre des vies déchirées et les débris des combats. En s’approchant de la ligne de front, ils se découvrent l’un l’autre et appréhendent peu à peu la vie en temps de guerre.

Rokas and Inga, a couple of young Lithuanians, volunteer to drive a cargo van of humanitarian aid to Ukraine. When plans change and they find themselves left to their own, they cross the vast snowy lands of the Donbass region in search of allies and shelter, drifting into the lives of those affected by the war. They approach the frontline in spite of danger, growing all the more close to each other, as they begin to understand what it is like to be living through war.

Dans À l’ouest du Jourdain, Amos Gitai se rend à nouveau, 35 ans après Field Diary en 1982, en Cisjordanie. La série de rencontres avec des organismes de Human Rights tels que B’Tselem, Breaking the Silence, Forum des familles des victimes de violence et Ta’ayush nous montre une série d’actes de résistances fragiles qui rassemblent des activistes israéliens et palestiniens. Le film par lui-même est une recherche du chemin de la paix, une recherche de lumière au milieu d’une période sombre.

Amos Gitai returns to the occupied territories for the first time since his 1982 documentary Field Diary. West of the Jordan River describes the efforts of citizens, Israelis and Palestinians, who are trying to overcome the consequences of occupation. Gitai’s film shows the human ties woven by the military, human rights activists, journalists, mourning mothers and even Jewish settlers. Faced with the failure of politics to solve the occupation issue, these men and women rise and act in the name of their civic consciousness. This human energy is a proposal for long overdue change.

Agnese et Stefano sont très différents l’un de l’autre. Elle, 17 ans, vit seule avec une mère dure et pieuse, fréquente l’église et est sur le point de faire vœu de chasteté jusqu’au mariage. Lui, 25 ans, jeune violent au passé difficile, est gardien d’un parking situé à côté d’un grand campement de Roms. De leur rencontre naît un sentiment authentique, fait de moments volés et d’aide réciproque.

Agnese and Stefano are profoundly different. She is only seventeen, lives with her mother – a harsh and devoted woman – is a regular church-goer and is about to take a vow of chastity to last until marriage. He is twenty-five, has a violent temper and a difficult past behind. He works as a warden in a car park that borders a Roma camp. Their unexpected meeting engenders a true sentiment, made of little stolen moments and mutual help.

Dans À l’ouest du Jourdain, Amos Gitai se rend à nouveau, 35 ans après Field Diary en 1982, en Cisjordanie. La série de rencontres avec des organismes de Human Rights tels que B’Tselem, Breaking the Silence, Forum des familles des victimes de violence et Ta’ayush nous montre une série d’actes de résistances fragiles qui rassemblent des activistes israéliens et palestiniens. Le film par lui-même est une recherche du chemin de la paix, une recherche de lumière au milieu d’une période sombre.

Amos Gitai returns to the occupied territories for the first time since his 1982 documentary Field Diary. West of the Jordan River describes the efforts of citizens, Israelis and Palestinians, who are trying to overcome the consequences of occupation. Gitai’s film shows the human ties woven by the military, human rights activists, journalists, mourning mothers and even Jewish settlers. Faced with the failure of politics to solve the occupation issue, these men and women rise and act in the name of their civic consciousness. This human energy is a proposal for long overdue change.

Rokas et Inga, un couple de jeunes lituaniens, conduisent un van d’aide humanitaire depuis Vilnius jusqu’en Ukraine. Au fur et à mesure de leur voyage et au gré des rencontres, ils se retrouvent livrés à eux-mêmes, traversant les vastes terres enneigées de la région de Donbass, à la dérive entre des vies déchirées et les débris des combats. En s’approchant de la ligne de front, ils se découvrent l’un l’autre et appréhendent peu à peu la vie en temps de guerre.

Rokas and Inga, a couple of young Lithuanians, volunteer to drive a cargo van of humanitarian aid to Ukraine. When plans change and they find themselves left to their own, they cross the vast snowy lands of the Donbass region in search of allies and shelter, drifting into the lives of those affected by the war. They approach the frontline in spite of danger, growing all the more close to each other, as they begin to understand what it is like to be living through war.

Ali et Evan sillonnent les routes entre les États-Unis et le Canada. Ils utilisent Bone, le fils d’Ali, âgé de huit ans, dans leurs trafics. Le jeune couple vit de plus en plus dangereusement. Tous rêvent pourtant d’un refuge, d’un foyer, mais leur fuite inexorable les entraîne sur un chemin qu’ils n’avaient pas prévu… Pour trouver sa place, Ali aura à faire un choix entre la liberté et sa responsabilité de mère.

In forgotten towns along the American border, a young mother drifts from one motel to the next with her intoxicating boyfriend and her 8-year-old son. The makeshift family scrapes by, living one hustle at a time, until the discovery of a mobile home community offers an alternative life.

Naples. Aujourd’hui. Giovanna, travailleuse sociale combative de 60 ans, fait face à une criminalité omniprésente. Elle gère un centre qui s’occupe d’enfants défavorisés et offre ainsi une alternative à la domination mafieuse de la ville. Un jour, l’épouse d’un criminel impitoyable de la Camorra, la jeune Maria, en fuite avec ses deux enfants, se réfugie dans ce centre. Lorsqu’elle lui demande sa protection, Giovanna se retrouve confrontée, telle une Antigone moderne, à un dilemme moral qui menace de détruire son travail et sa vie.

Naples. Present day. Giovanna, a combative 60-year-old social worker on the frontline of the daily war against pervasive criminality, is confronted, like a modern Antigone, with a moral dilemma that threatens to destroy her work and her life. Giovanna runs an after-school centre that takes care of underprivileged children; a grassroots alternative to the mafia dominance of the city. But one day, young Maria, wife of a ruthless Camorra criminal on the run, and her two children take refuge at the centre, and ask Giovanna for protection.

Agnese et Stefano sont très différents l’un de l’autre. Elle, 17 ans, vit seule avec une mère dure et pieuse, fréquente l’église et est sur le point de faire vœu de chasteté jusqu’au mariage. Lui, 25 ans, jeune violent au passé difficile, est gardien d’un parking situé à côté d’un grand campement de Roms. De leur rencontre naît un sentiment authentique, fait de moments volés et d’aide réciproque.

Agnese and Stefano are profoundly different. She is only seventeen, lives with her mother – a harsh and devoted woman – is a regular church-goer and is about to take a vow of chastity to last until marriage. He is twenty-five, has a violent temper and a difficult past behind. He works as a warden in a car park that borders a Roma camp. Their unexpected meeting engenders a true sentiment, made of little stolen moments and mutual help.

Ali et Evan sillonnent les routes entre les États-Unis et le Canada. Ils utilisent Bone, le fils d’Ali, âgé de huit ans, dans leurs trafics. Le jeune couple vit de plus en plus dangereusement. Tous rêvent pourtant d’un refuge, d’un foyer, mais leur fuite inexorable les entraîne sur un chemin qu’ils n’avaient pas prévu… Pour trouver sa place, Ali aura à faire un choix entre la liberté et sa responsabilité de mère.

In forgotten towns along the American border, a young mother drifts from one motel to the next with her intoxicating boyfriend and her 8-year-old son. The makeshift family scrapes by, living one hustle at a time, until the discovery of a mobile home community offers an alternative life.

Domrémy, 1425. Jeannette n’est pas encore Jeanne d’Arc, mais à 8 ans elle veut déjà bouter les anglais hors du royaume de France. Inspirée du Mystère de la charité de Jeanne d’Arc (1910) et de Jeanne d’Arc (1897) de Charles Péguy, la Jeannette de Bruno Dumont revisite les jeunes années d’une future sainte sous forme d’un film musical à la BO électro-pop-rock signée Gautier Serre, alias Igorrr et aux chorégraphies signées Philippe Decouflé.

France, 1425. In the midst of the Hundred Years’ War, the young Jeannette, at the still tender age of 8, looks after her sheep in the small village of Domremy. One day, she tells her friend Hauviette how she cannot bear to see the suffering caused by the English. Madame Gervaise, a nun, tries to reason with the young girl, but Jeannette is ready to take up arms for the salvation of souls and the liberation of the Kingdom of France. Carried by her faith, she will become Joan of Arc.