Énergie : après l’offensive iranienne contre Israël, les financiers se refusent à croire au scénario du pire
Face à la menace d’un conflit ouvert entre Israël et l’Iran, les spécialistes des marchés de l’énergie excluent le recours à l’arme pétrolière comme en 1973. Mais cela n’évacue pas le risque d’un choc pétrolier, malgré tout. L’Europe serait alors à nouveau en première ligne.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter
« Tout« Tout dépendra de la nature de la riposte d’Israël. » Les analystes des marchés de l’énergie en étaient réduits à enfoncer des portes ouvertes, lundi 15 avril. À l’instar des responsables politiques mondiaux, le monde de l’énergie attend la suite, espérant que les pressions conjointes des États-Unis, de leurs alliés, mais aussi de la Chine et de la Russie, parviendront à contenir l’extension du conflit entre Israël et l’Iran, et à éviter un embrasement régional.