Georges Bernanos

Joseph Ratzinger makes a strong distinction between self-love and egoism. Proper self-love involves transcending the self. Egoism, on the other hand, is the inward turn that leads to an endless flight from self. Ratzinger bases this distinction on a relational ontology in which humans image the relational God: Father, Son and Holy Spirit. It is arguable that Georges Bernanos utilizes a similar framework in the novels Mouchette and The Diary of a Country Priest. If read accordingly the protagonist in each novel provides a profound example of the “relationality” of self-love. This paper explicates Ratzinger’s notion of self-love in conjunction with Bernanos’ literary depiction, and argues that self-love is only realised through one’s ecstatic love of God. Love, so construed, reconciles the apparent disjunction between self-denial and self-love.

Ernest (de) GENGENBACH. Sa vie.  Christophe STENER, BoD. 2022
Préface de notre ouvrage consacré à la vie d'Ernest (de) GENGENBACH (1903-1979), un épigone du Surréalisme injustement oublié ayant alterné ouvrages satanises et témoignages mariaux. Le second tome, consacré à son œuvre, paraîtra cet automne.

Preface to our book dedicated to the life of Ernest (de) GENGENBACH (1903-1979), an unjustly forgotten epigone of Surrealism who wrote both satanic books and pious ones dedicated to Virgin Mary. The second volume, His work, will be published this fall.

BoD, 2022, ISBN 9782322198979 & 9782322437191

Quella di cui trattiamo in queste riflessioni non è certamente la crisi intesa in senso economico che, a nostro avviso, non fa altro che accelerare il processo di smascheramento della menzogna della via consumistica e materialistica, incentrata unicamente sulla soddisfazione dei bisogni personali. Ci occuperemo prevalentemente della crisi spirituale del nostro tempo, in altre parole, di quella profonda inquietudine e agitazione che caratterizza la vita interiore dell’uomo di oggi.
Se lasciando da parte -per un attimo- i giudizi sull’opera di Guénon e ci stacchiamo dalle esigenze legate all’appartenenza a scuole di pensiero e ritorniamo a leggere le pagine dedicate alla diagnosi che egli ha saputo fare del nostro tempo, vi possiamo trovare indicazioni ancora valide per accompagnarci nel pericoloso cammino del presente.

Cet article reprend une conférence donnée dans le cadre d'un colloque à l'occasion des 70 ans de la mort de Nicolas Berdiaev. Il analyse la vision de la technique développée par Berdiaev, l'auteur de L'homme et la machine en 1933, essayant de montrer la singularité de l'approche berdiaevienne qui entend dépasser l'opposition standard entre technophilie et technophobie.

Joy is the story of Chantal de Clergerie, a young woman and visionary who lives a life defined by innocence and purity in the midst of a tangle of insanity, and Abbé Cénabre, a priest grappling with apostasy. In keeping with the other great works of award-winning author Georges Bernanos, Joy is a captivating, insightful, and profound look into the depths of the interior life. In 1929, Joy was awarded the Prix Femina, a literary prize given to what is deemed the best French novel of the year.

To this new edition of Joy, Andrew T. J. Kaethler, Ph.D., has contributed an insightful Introduction and collection of Notes for the Reader that deftly describe Bernanos’s style and influences as well as unfold the nuances of the craft on display in the novel.


––“Andrew Kaethler is to be congratulated on this new edition of Georges Bernanos’ novel. His introduction and notes provide a friendly, informed, welcoming guide to this still-too-little-known work. They will be invaluable in helping readers to be challenged, moved, edified and surprised by Joy.” ~Michael Ward, University of Oxford


––“I am delighted to know that this classic is to be republished and added to Cluny’s distinguished catalogue of publications. To Bernanos’s Joy, Dr. Kaethler has written a most informative and stimulating introduction, which I read with profit.” ~Vincent Twomey, SVD, Maynooth University, Ireland


––“With hints of Dostoevsky and Charles Williams, yet with the characteristically individual voice for which good French writers are justly famous, Bernanos still inspires with his joyous and uncompromising vision of sanctity. Together with Kaethler’s penetrating theological introduction and notes, the Cluny Classics edition of Joy is set to introduce a new generation of readers to Bernanos’s works.” ~Norm Klassen, University of Waterloo

avant-dernier paragraphe (sans les erreurs d'attribution émaillant les épreuves ci-joint) et conclusion: À propos de « la grande machine technico-bureaucratique »« d’action sur la nature et de conditionnement des hommes », le Père Alain Birou d’Économie et humanisme, ignorant Ellul, qu’il paraphrase pourtant, se demande même: « Quels sont les chrétiens ou même les théologiens qui ont fait du point de vue de la foi la même analyse de la modernité que Henri Lefebvre ? » [ibid., p. 493] Domenach renchérit, s’étonnante qu’il y ait « si peu de croyants parmi les sociologues, et que, plus largement, les théologiens, les penseurs chrétiens se soient si peu intéressés à la sociologie contemporaine » [ibid., p. 493]. Ellul est justement ce penseur chrétien dont l’œuvre sociologique, parallèle à celle de Lefebvre, est non moins imposante que l’œuvre théologique, mais restera  dédaigné d’Esprit encore longtemps. Comble d’ironie, c’est dans le cadre de la même enquête que « Mgr Ivan Illich » fait son entrée dans la revue, y traitant de la « Métamorphose du clergé ». Esprit sera bientôt l’un des principaux vecteurs de la réception française enthousiaste de sa critique des institutions modernes. Or Illich, dans un vibrant hommage à son « Maître Jacques » à la veille de sa mort, lui avouera tout ce que sa propre démarche devait aux « questions soulevées par votre concept de ‘la technique’ » depuis qu’il avait reçu en 1965 un exemplaire du livre d’Ellul des mains de son traducteur américain .[Illich 1994, p. 15].
Par le biais de la médiation étrangère d’Illich et du voisinage intellectuel
de Lefebvre, des perspectives critiques envers la société industrielle, formulées
par Ellul et Charbonneau dès avant-guerre, allaient faire leur chemin en
France à partir de Mai 68. Elles distillaient pourtant une intuition centrale des
non-conformistes des années 1930. Au fil des décennies suivantes, sans
bouger eux-mêmes de cet axe d’une mise en cause du « progrès », les personnalistes
gascons s’étaient d’abord vus rejetés sur leur flanc droit avec le traditionaliste
Bernanos, puis enfin rejoints sur leur gauche par le marxiste
Lefebvre, autre vétéran de ces milieux, mais porté lui par une nouvelle relève
venant du même bord. S’ils purent alors commencer d’être entendus dans
certains milieux contestataires, Charbonneau et Ellul demeurent à ce jour
largement ignorés du grand public, des intellectuels et des historiens. Comme
quoi de tels prophètes ne peuvent espérer en être en France s’ils demeurent en
province à l’écart des réseaux et courants dominants.

Los Cuadernos, de los cuales se publican aquí los seis primeros de la serie, eran llamados por Heidegger, indiferentemente, Arbeitshefte (Cuadernos de trabajo) o Schwarze Hefte (Cuadernos negros). Esta última denominación se explica —como en el caso de El Cuaderno rojo de Marina Zvetáieva, que apareció en 2011 en Éditions des Syrtes— por el color de su encuadernación. Esta última, en lo que concierne a los Cuadernos de Heidegger, era dura y recubierta por un hule negro. El conjunto de sus hojas linda con las 100 páginas, en un formato cercano a nuestra media página A4.

Républicains ou catholiques, les écrivains du tournant du XXe siècle travaillent beaucoup le motif littéraire de la déviance au féminin. Leurs héroïnes traduisent, en le somatisant, le malaise dans la culture qui ne répond que timidement à la nécessité de repenser les rapports entre les sexes, l’image des femmes au-delà du modèle «bonne épouse-bonne mère» et, de manière générale, la place du féminin dans une société en voie d’émancipation par rapport aux valeurs anciennes. Dans les années 1920, les figures romanesques de Mouchette et de T. Desqueyroux, chez Bernanos et Mauriac, s’inscrivent dans ce paradigme tout en le distordant fondamentalement. Dans cet article, nous montrerons la distance dont témoignent Mauriac et Bernanos par rapport à un cadre de pensée théologique révolue, qui faisait, à la fin du XIXe siècle, de la résignation et de la souffrance rédemptrice (féminines), incarnées dans la passivité physique, une valeur chrétienne essentielle. Ensuite, nous verrons comment G. Bernanos et F. Mauriac, dans Sous le soleil de Satan (1926) et Thérèse Desqueyroux (1927), construisent une poétique renouvelée de la « folle littéraire » en façonnant des personnages subversifs qui, loin de se résigner comme leurs consœurs d’hier, refusent avec violence leur destin de femmes soumises à l’autorité maritale ou paternelle.

The current review aims at presenting a recent publication of the correspondence among four major French authors of the 20th Century, Maritain, Mauriac, Claudel and Bernanos, who shared a deep catholic faith. Focussed on Jacques Maritain's relationship with his three contemporaries, Bressolette and Quantin's book provides an insight into the dramatic years preceding and following the outbreak of the Second World War, through a series of previously unpublished letters, along with letters already known to the public but approached from a new critical perspective.

Texto publicado no Volume 1 dos Anais do II Colóquio Internacional de Direitos Humanos e Políticas de Memória (2021). < http://eventos.idvn.com.br/coloquio2021/anais >

In: Silva, Eliane Cristina (et. all.). Cultura, resistência e autoritarismo / organização de Eliane Cristina da Silva, Márcio José Pereira e Ozias Paese Neves. Prefácio de Miliandre Garcia e Rodrigo Czajka. Maringá, PR: Edições Diálogos, 2021.

Resumo: Entre meados de 1940 e de 1944, a comunidade francesa que residia no Brasil acompanhou atentamente o processo de “ocupação nazista” na França. Este trabalho busca mapear e situar um conjunto de traduções da “França Livre”, que foram mobilizadas pelos auto-denominados “franceses livres” e seus mediadores no Rio de Janeiro. A abordagem analítica (ainda em fase inicial) é um estudo de trajetórias intelectuais interindividuais, considerando suas diferentes condições de exílio, de produção cultural, de inserção social e de permanência no Brasil naquele período. Enfoca-se George Bernanos, que morou no país entre 1938 e 1945, publicando textos via tradução de Lúcia Miguel Pereira; Léo Poldes, que, logo após se mudar, em 1942, fundou a “Tribuna livre franco-brasileira” e foi perseguido pelo Estado Novo, exilando-se, em seguida, no Uruguai; Charles Ofaire, editor-fundador da Editora Atlântica, que então publicou Bernanos e também a primeira biografia de Charles de Gaulle em português; Beatrix Reynal, mecenas, filantropa, poeta, anfitriã de salão, que morava no Rio desde 1915 e criou o Programa de Rádio “Franceses nos Cremos em Vós” (1943); e Auguste Rendu, morador da cidade desde os anos 1930, foi presidente do Comitê De Gaulle (Rio de Janeiro, 1941-1945), em 1942 renomeado Comitê dos Franceses Livres. As relações que estabeleceram entre si e com a categoria “França Livre”, delimitam um circuito de pessoas e ideias, com modalidades de participações (formais e informais) no Comitê De Gaulle, e, mais amplamente, num processo de transmissão cultural da Segunda Guerra Mundial, que contribuiu para a crise do Estado Novo no debate público.

Palavras-chave: França Livre no Brasil; Gaullismo; Circuito de pessoas e ideias; Segunda Guerra Mundial; Estado Novo.

RESUMO: Buscamos apresentar por meio desse ensaio as relações entre teologia e literatura com foco nos estudos da teologia pastoral. Portanto, propomos uma discussão que visa estabelecer os benefícios da literatura para o agir ministerial. Apresentamos uma breve discussão sobre essas interseções, prosseguindo com a interpretação de uma obra representativa para essa questão: o diário de um pároco de aldeia, de Georges Bernanos. Ao elencar as imagens ministeriais que surgem do romance, agrupamo-las em dois grandes grupos: metáforas de insuficiência e de sacrifício. Ao fim, visitamos os dados obtidos, encontrando paralelos nas Escrituras, e aplicações ministeriais. ABSTRACT: We seek to present through this essay the relationship between theology and literature with a focus on the study of pastoral theology. Therefore, we propose a discussion that aims to establish the benefits of literature for ministerial action. We present a brief discussion of these intersections, proceeding with the interpretation of a representative work for this issue: the diary of a country priest, by Georges Bernanos. In listing the ministerial images that emerge from the novel, we have grouped them into two large groups: metaphors of insufficiency and sacrifice. In the end, we visited the data obtained, finding parallels in the Scriptures, and ministerial applications.

Les premières traces d'une 'rencontre' entre les deux écrivains se trouvent en 1928 lorsque Malraux faisait connaître sa réaction face au deuxième roman de Bernanos, L'Imposture, dans une remarquable critique parue dans la NRF 1. Malraux a été un des premiers à percevoir la nouveauté du roman bernanosien dont la technique romanesque est informée par une vision du monde métaphysique et non plus psychologique, ce que la plupart des critiques n'avaient su discerner. Malraux voit dans la structure dramatique de L'Imposture un signe indubitable que le roman moderne a pris le relais de la tragédie. Ecrire des romans métaphysiques, n'est-ce pas tourner le dos à l'histoire et s'enfuir vers des valeurs intemporelles ? Il est pourtant évident que les deux romanciers s'engageaient pleinement dans le siècle. Cet engagement se manifestait chez Bernanos et Malraux bien avant la grande mutation de 1930. Bernanos luttait dès avant la Première Guerre mondiale dans les rangs de l'Action française, nourrissant le (vain) espoir qu'un Maurras renverse par un " coup de force " la République bourgeoise. Malraux, imprégné par un vif sentiment d'humiliation, sentiment encore aiguisé par l'absurdité du procès de Pnom-Penh, devait s'engager dès 1925 dans une lutte menée en commun avec des Asiatiques opprimés.

Joseph Jurt Terror und Zeugenschaft: Bernanos, Malraux und der Spanische Bürgerkrieg Man hat oft die Generation der Schriftsteller der 1930er Jahre durch ihr Engagement charakterisiert, durch ihren Willen, sich mit ihrer Welt auseinanderzusetzen, im Gegensatz zu den eminenten literarischen Vertreter des vorhergehenden Jahrzehnts, die sich der Welt und der Geschichte wenig zugetan fühlten. 1 Dieses Engagement war bei Bernanos und Malraux lange vor der Wende der 1930er Jahre zum Ausdruck gekommen. Bernanos hatte sich schon dem Ersten Weltkrieg in der politischen Bewegung der Action française eingeschrieben und nährte die (illusorische) Hoffnung, Maurras, der Chef der neo-royalistischen Bewegung, werde mit einem Putsch die bürgerliche Republik hinwegfegen. Bernanos stand dann während des Ersten Weltkrieges als einfacher Soldat vier Jahre in den Schützengräben Nord-Frankreichs. Der Enttäuschung über die Mittelmässigkeit der Nachkriegszeit antwortete er 1926 mit einem Roman Sous le Soleil de Satan, der sich nicht bloß als literarischer Ausdruck einer spirituellen Dimension verstand, sondern auch als Reaktion auf eine Epoche. 2 André Malraux war seit seiner Jugend geprägt durch die Erfahrung der Demütigung, ein Gefühl, das bei ihm noch verstärkt wurde, als er die Unerbittlichkeit des Kolonialregimes anlässlich des Prozesses von Pnom-Penh am eigenen Leib erfuhr. Das weckte in ihm eine Revoltehaltung gegen die Gesellschaft, die mehr war als eine bloß individuelles Aufbegehren.. Schon 1925 kehrte er nach Saigon zurück und gründete zusammen mit Paul Monin eine unabhängige Zeitung L'Indochine, die nach einem Verbot unter dem Titel Indochine enchaînée erschien, in der er unverblümt die Auswüchse der französischen Kolonialpolitik in Hinterindien an den Pranger stellte. 3 Er war als non-konformistischer Abenteurer und Kunstliebhaber nach Asien gefahren und hatte hier zu trans-individuellen Werten gefunden-zur Solidarität der politischen Aktion: "[Il] prit conscience de ce qu'un ensemble d'hommes n'était pas la somme d'individus qui le composaient, mais un élément PAGE 22

The apogee of the French Catholic Novel in the first half of the twentieth century coincides with a period of unprecedented cultural interest in the workings of the mind, with a variety of artistic, scientific, and philosophical ideas on consciousness prominently employed by major French writers of the period. This article explores how the Catholic novel participates in this debate, presenting its own detailed conception of consciousness derived from theological principles, finding echoes with certain contemporary theories of the mind and contrast with others, and, in particular, coming into sharp conflict with both the existentialist and psychoanalytic models.

Guerra Fría en Suiza; pensamiento politico de Georges Bernanos; Bernanos en  en el contexto brasileño, Bernanos y Malraux y la Guerra Civil española,; investigador de frontera (Alemania y Suiza); comparatismo interdisciplinar; recepción literaria; Pierre Bourdieu en el campo alemán, fundación del Frankreich-Zentrum en Friburgo en 1989; caida del muro de Berlin, conferencia inaugural del Frankreich-Zentrum par P. Bourdieu: "Las condiciones sociales de la circulación internacional de la ideas"

Writing the Mind: Representing Consciousness from Proust to the Present explores how writers across the last hundred years have risen to the challenge of putting the workings of the conscious and unconscious mind on the page. Against the backdrop of a century of cultural and scientific development, the study examines the work of seven ground-breaking French and European authors: Marcel Proust, whose writing is the cornerstone of the modern psychological novel; Georges Bernanos and the Catholic novelists; André Breton and Surrealism; Jean-Paul Sartre and the existentialist novel; Samuel Beckett; Nathalie Sarraute; and, finally, bringing us into our own century, Marie Darrieussecq. Simon Kemp examines the inf luence of science, faith, and philosophy on these writers, and demonstrates how writers learn from or react against their predecessors or quarrel with their peers. Kemp’s elegant study also charts the rise and wane of Freudian inf luence on literature through the twentieth century, and the emergence of cognitive and neo-Darwinian ideas at the dawn of the twenty-first. In the work of these seven writers, we discover radically different understandings of how consciousness and the unconscious mind are constituted, which are the most salient characteristics of mental life, and even what it is that defines a mind at all.

Prolongeant une dynamique de fond qui sous-tend le XIXe siècle en France, la noblesse continue durant le XXe siècle d’exercer une fascination structurante sur de nombreux écrivains. Relevant par bien des aspects d’une « tradition » que la modernité tend par ailleurs à battre en brèche, le modèle nobiliaire contribue ainsi à orienter les dynamiques mutationnelles de la littérature, tout au long d’un siècle marqué par plusieurs crises historiques et sociales de grande ampleur. Poursuivant l’interrogation conduite dans le premier tome de Lettres de noblesse, consacré au XIXe siècle, cet ouvrage vise à cerner certaines des principales lignes de force et des fonctions de l’imaginaire nobiliaire dans la littérature française du XXe siècle.

The realization of the ideological parallelism between G. Bernanos and F. Dostoyevsky is examined in the aspect of the real nature and the semantic content of the notion of "realism". Particularly the first novel of the French author "Under the Sun of Satan" is analyzed.

The article deals with the intertextual relationship of the modern French literature with the figure of Dostoevsky. The main attention is concentrated on the imagological and thematic parallels texts by G. Bernanos, A. Glucksmann, M. Houellebecq, F. Beigbeder to creativity of the Russian classic. The themes of mystical, nihilism, the arrangement of the wicked humanity, parents and children, etc. are selected and imagological analogies are held.