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Quoi de neuf ?

La compagnie d’un chien aiderait à réduire le risque d’obésité infantile

Une étude australienne montre que des enfants de 5 à 6 ans vivant avec un chien sont 2 fois moins exposés au risque d’obésité

Chien et enfantLa prévalence du surpoids et de l’obésité chez l’enfant augmente régulièrement dans les pays industrialisés. En France, elle concerne aujourd’hui 12 % de la population infantile. Face à ce risque de santé, des chercheurs australiens ont récemment publié les résultats d’une étude originale qui met en lumière l’influence positive de la compagnie d’un chien sur la réduction du risque d’obésité chez l’enfant, et ce dès son plus jeune âge. L’étude montre notamment que dans le groupe des 5/6 ans les enfants vivant avec un chien sont 2 fois moins exposés au risque d’obésité infantile que les enfants vivant sans chien.

L’auteur de l’étude, Dr Jo Salmon -Université de Deakin, Victoria- a présenté son étude au cours d’une conférence  sur le “Child Development, Health and Therapeutic Interventions”  co-organisée par The National Institute of Child Health and Human Development (NICHD) et Waltham®, centre de recherche de Mars, Incorporated dédié au bien-être et à la nutrition des animaux de compagnie.

« Notre recherche a montré que les petites filles qui ont un chien passent 29 minutes de plus par jour à des activités physiques que celles qui n’ont pas de chien. Ceci signifie qu’elles atteignent la moitié du niveau d’activité physique recommandé par le simple fait de s’occuper de leur chien. Jouer avec son chien dans le jardin contribue à accroître le niveau d’activité physique. Vivre avec un chien peut également accroître significativement le temps de marche d’une personne. Naturellement, promener son chien n’est pas la seule façon d’accroître son activité physique mais cette solution représente un choix facile pour près de 40 % des ménages qui ont un chien ».

L’étude a également montré qu’au rang des activités favorites des enfants, « jouer avec son animal arrivait en deuxième place derrière le fait de  jouer avec ses amis », a précisé le Dr Salmon. « A la lumière de ces résultats, il me semble que posséder un chien constitue peut-être une bonne stratégie pour les parents qui cherchent à faire éteindre l’ordinateur ou la télévision à leur enfant et à faire évoluer le mode de vie des petits comme des grands ».

Logo Mars* Etude publiée dans Health Promotion Journal of Australia 2008

Communiqué MARS Petcare & Food France

La lettre des Villes de l'Afirac N° 22 - L'animal fait société

La lettre des Villes de l'Afirac N° 22.

Une relation au poil !

Chiens et chats et quelques autres nous accompagnent depuis la nuit des temps et pourtant que savons nous de ce lien ancestral ? Peu de choses, parce que la relation entre l'homme et l'animal reste un univers méconnu souvent traversé par des idées reçues.

Afirac (Association Française d'Information et de Recherche sur l'Animal de Compagnie) s'attache à observer et faire connaître la nature de ce lien et sa richesse. Le vécu des maîtres au quotidien et les interrogations des scientifiques constituent un domaine à explorer...

Le parcours historique et géographique dans notre société de nos amis félins et canins nous amène à porter un autre regard sur la relation que nous entretenons avec eux. Que nous soyons enfants, parents, seniors ou célibataires branchés, urbains, rurbains ou ruraux, une riche palette d'interactions se dévoilent...

Au quotidien, chiens et chats contribuent à notre bien être physique et moral. Ils peuvent être aussi de précieux médiateurs dans le cadre des Activités Associant l'Animal (AAA) et de la Thérapie Facilitée par l'Animal (TFA) proposées à des malades, des personnes handicapées et des personnes âgées.